tien un cachot [Terminé] [SEX]

Dante ce faisait chier et comme son travail qui faisait pas était vraiment chiant a mourir il décidât de faire une ronde juste pour dire "hey c est moi je travail ca tente bouche un coin il passa par des salles vides, des salles de classes et les jardin dont il trouvait ca vraiment très moches tout vert mais quelle était les couillont qui on crée cela c"est vraiment des crétin vraiment finit il aurait des plus de statues mais aussi il manque beaucoup de neige enfin bref il allait pas entretenir cette merde enfin il entra dans un maison il vu un escalier qui menais à un couloir il sentait des odeurs bizarre du charbon et un odeur très spécial le sueur.

IL entrait dans ce couloir il fessait très sombre les murs était noir il avait juste un panneau en blanc ou 'était écrit:

*Salle des Cachot enseignements salle du charbon*

ce qui expliquai des chose l'odeur de charbon mais aussi la sueur et en rigolant Dante dit:

*A ca ma l'ai sympathique ici on vas y poser deux trois cadavres ca vas être drôle et plus réalistes*

Il poussa la porte d’un des nombreux Cachot il vu un espèce de siège non un espèce de truck pour savoir en bois c'était très inconfortable en ce posant il regarda la porte qui continua à grincer du fait qu'il avait ouvert la porte cette porte état de couleur noir en métal les mur était en brique mais en noir ca lui rappelai les mines des Russie mais sans les cadavres xD

Enfin il se décidait de s'allonger sur cette planche en bois et mis ces main sur ces cuisse et dit:

*je suis bien installer il manquerait plus que un peut de musiques*

Il s'endormi très brièvement au paravent il avait prix la penne de poser ca veste rouge

Dante commençait a chantonné quand soudain un vois lui parlais dans ca tête il serra ca tête dans ces deux mains mais la voir s’arrêtait point elle disait:

*Dante ce cachot il serait très bien pour cacher un cadavre oublie pas d'ou tu viens du doit tuer tuer faire souffrir les gens pour pouvoir me satisfaire petit con vas y défoule toi sur l'humanité que tu déteste et que tu détestera toujours.*

Les voix s'arrêtaient et il se mis a réfléchie

Pauvre enfant accusé d'avoir commis l'impardonnable. Avoir fabriqué une balle de football avec du caoutchouc, et avoir fait une partie dans le jardin, juste derrière le presbytère. Avoir été attrapé par le curé, comme ses camarades. Avoir eu droit à un régime spécial, contrairement aux autres, parce que l'idée venait de lui, et qu'il l'avait entièrement assumé face à l'autorité, et ce pour éviter que l'on ait des ennuis par sa faute. Preuve de noblesse et de courage que d'assumer ses responsabilités. De toutes manières il aurait été dénoncé. Dans un univers aussi impitoyable, c'est bouffer ou être bouffé. Le concept de l'amitié s'en retrouve fort changé. Il n'avait plus qu'à purger sa peine, et ressortir la tête haute. Tout le monde trouvais ça normal ici. Normal de recevoir un coup de ceinture chacun pour avoir joué au foot. Normal que Raphaël en prenne dix de plus pour avoir conçu la balle, et trois jours de cachot pour avoir entraîné ses camarades dans cette histoire. Pour avoir eu l'idée, comme on dit. Mais il savait qu'aucun des garçons ne regrettait son coup de ceinture. Comme prix d'une après-midi de bon temps, c'était peu cher payé. Et chacun d'entre eux était prêt à renouveler l'expérience si une occasion se présentait. Le garçon était assis dans le cachot, son dos meurtri reposant contre le mur gris et froid. Il n'avait pas vu la lumière du soleil depuis bientôt deux jours. C'était une épreuve difficile, mais cela signifiait que la fin de sa peine approchait. Trois jours... Les blessures dans son dos n'avaient même pas encore cicatrisé. Rester accroupi dans le noir, sans avoir la place de bouger, cloitré entre quatre cloisons froides et humides, c'était déjà assez pénible comme cela, mais en plus, il n'avait rien eu à manger ni à boire pendant trois jours.

Il avait déjà suffisamment faim en temps normal... La faim. Un concept qui s'oublie vite, tant cela nous parait inconcevable. Avez-vous déjà réellement eu faim dans votre vie? Peu de gens pourront vous répondre que oui. Mais la soif... Rien n'est pire comme sensation que celle d'avoir soif. Sentir sa langue se déssécher peu à peu. Ne pas pouvoir dormir, parce que l'on ne rêve que d'eau. Voilà l'état dans lequel fut plongé Raphaël pendant trois jours. La faim, la soif, la peur, la douleur, la peine, la colère, le sommeil, et cette absence de lumière qui l'aurait presque rendu fou! Mais quand allaient-ils le laisser sortir??? Seul avec ses pensées, le gamin commençait à déraisonner. Soudain, une voix le fit sortir de sa torpeur.

- Ah ça m'a l'air sympathique ici! On va y poser deux-trois cadavres, ça va être drôle, et plus réaliste.

Raphaël n'en croyait pas ses oreilles. Il entendit des pas. Puis à nouveau le silence. Et la voix qui reprit.

- Je suis bien installé. Il ne manquerait plus qu'un peu de musique.

Raphaël connaissait cette voix. A présent il en était sûr. Il fit un effort surhumain pour se mettre debout, en s'appuyant sur le mur. Puis il tituba jusqu'à la porte. Plusieurs fois ses jambes faillirent le lâcher, et il eut plus de peine qu'il n'aurait pu le croire pour faire trois pas. La porte du cachot ne comprenait qu'une toute petite ouverture, et ce trou était couvert de barreaux. Mais le garçon parvint à se redresser suffisamment pour que son visage soit à ce niveau. Il jeta un coup d'oeil devant sa cellule. Le concierge! Il en était sûr. Cet homme l'inquiétait beaucoup, et il n'arrivait pas à s'expliquer sa présence en ces lieux... Mais de toutes manières le concierge n'avait pas les clefs du cachot. C'était le curé qui les gardait précieusement, seul maître de son pouvoir. Donc, même dans le pire des cas, celui-ci ne pouvait pas lui faire encore plus de mal qu'il ne devait déjà en souffrir. Rassemblant ses forces, le garçon passa une main à travers les barreaux, et sa voix s'éleva, faible...

- S'il vous plaît... soif... de l'eau... vous en supplie...

Le concierge n'avait bien entendu pas le droit de donner de l'eau à un élève puni, mais avec un peu de chance, il ne le savait pas. Peut-être n'avait-il pas d'eau sur lui? En tout cas, ça ne coûtait rien de demander. Au pire, le concierge ne pouvait pas l'atteindre, et s'il se faisait attraper par le curé, ce serait lui qui aurait des ennuis. Le curé avait pour principe de ne pas enfermer un enfant plus de trois jours. Cet homme grand, imposant, bestial, saurait-il faire preuve de pitié?

Dante avait la main sur ca joue et il réfléchissait a tout et a rien pourquoi il était là ce genre de futilitée, mais dans ca divine réflexion il entendait un voix de garçon qui résonnait mais cette voix était étrange en effet elle était plein de souffrances de douleurs il sens qu’il avait plus beaucoup de force et peut être plus beaucoup de temps devient lui enfin bon dans une cour instant il réfléchit ,je vais le voir ou pas ?? C’est une question très important car il pourrais plus ce regarder en face enfin non il aimerais pas que la curé se rende compte qu'il était passer par là enfin bon quand il continuait ca réflexion une voix la même disait:

*- S'il vous plaît... soif... de l'eau... vous en supplie...*

Au début il était légèrement amusé lui faire pitié au autre ca l'amusait enfin bon il marchait on étendait les pas de Dante dans le couloir il marchait doucement il mis ca main contre la porte et ce mais a faire un son 'PAFFF"" Il ouvra l'ouverture de la porte pour voir le garçon qui était presque mort avec des il était vide a sons apparence il était fable il s'était assied ces jambe on les voyait mais il arrivait plus beaucoup a marcher et puis ces marque sur le torse nue et le dos. Les blessures qui n'avaient même pas encore cicatrisées, il se dit alors de 'eau ou pas ?Quand il voyait le garçon il se voyait lui a son âge en train de ce faire torturer mais sauf que lui c'était pas trois jour enfin bon, il se déplaçait et vus une bouteille d'eau bien fraiche a l'entrer du couloir il ma prenait et revenu il dit:

*C'est bien cela ce que tu veux mon petit Raphaël mais par ou je vais te donner ca par l'ouverture c'est trop petit !!!!!*

Dante ce fessait peur lui même c'et la première Foix qui était gentil avec quelqu’un mais il lui arrivait quoi étend plus dire "mon petit Raphaël " a la il ne cherchât pas d'explication et regarda la porte du cachot et ce dit dans ca tête *comment je vais ouvrir ca un Cadenas assez simple a garder mmmm" IL chercha dans la pièce quelque chose pour ouvre le cadenas une lime a métaux.

*bof c'étais pas très efficace mais ca devrait faire l'affaire*

Il essaya de limer de cadenas pendant au moins 3 minute CCCCICICIICICIIC et puis le cadenas céda mm il ouvra la porte et s’assied sur la planche en bois mis ca main sur ces épaules et dit;

*Tien t'on eau mon gas bois*

Le garçon buvait et il voyait le garçon de nettement plus prêt il était plutôt beau même avec le torse nue sans casquette même ci Dante était plutôt fille que garçon il le trouvai beau avec ca natte un peut détacher il serait déjà amoureux? D’un mec en plus ?? Il a des choses qui allait pas dans ca tète et en lui mettant la main dans ces cheveux il mais ca main sur ca cuisse et le cessa.

*Hmmm tu es plutôt minions nue comme cela.*

- C'est bien cela ce que tu veux mon petit Raphaël? Mais par ou je vais te donner ca? Par l'ouverture c'est trop petit !!!!!

Mon petit Raphaël? Mais alors... Le concierge se souvenait de lui? Il se souvenait de son nom. Il savait qui il était. Le gamin ne pouvait pas en dire autant dans l'autre sens. Pour lui, c'était juste "le concierge"... Un homme éffrayant, mais plutôt étrange aussi. Il allait lui donner de l'eau? Voilà qui était plus qu'inattendu de sa part... L'enfant avait supplié en désespoir de cause, mais il ne s'attendait pas à être exaucé! Problème : la bouteille d'eau ne passait pas entre les barreaux. Que faire? Le môme aurait bien proposé que le concierge fasse couler l'eau entre les barreaux, pendant que lui aurait sorti la langue par l'ouverture, mais l'adulte semblait avoir une autre idée.

- Bof, c'est pas très efficace, mais ça devrait faire l'affaire...

Il était en train de crocheter la serrure! Ben ça! Il n'avait pas de clefs mais il était vraiment débrouillard, le concierge. Un homme que le curé trouverait sûrement dangereux, s'il savait... Trois minutes. Il ne lui fallut pas plus de trois minutes pour ouvrir la porte. Trois minutes pendant lesquelles Raphaël se demandait encore quelles étaient les intentions du concierge. Il n'allait pas simplement lui donner l'eau et repartir, le garçon ne pouvait pas y croire. Il sentait un danger imminent, à le laisser entrer dans sa cage... Mais il ne pouvait pas y faire grand chose. On aurait dit un tigre qui venait de pénétrer dans un clapier. Pourtant l'enfant baissa sa garde lorsque l'adulte lui tendit la bouteille.

- Tiens, ton eau, mon gars. Bois!

Il l'attrapa, la dévissa, et lentement, en posa le goulot sur ses lèvres, avant de pencher la bouteille. L'eau coulait abondamment, aussi bien dans sa gorge en feu que sur son torse. Il buvait, les yeux fermés, tenant là bouteille à une main, tandis que l'autre servait de balancier pour lui faire garder son équilibre malgré sa jambe tremblante. Lorsque la bouteille fut vide, et le garçon rassasié, celui-ci la retendit au concierge.

- Merci...

Mais celui-ci ne la prit pas. Jusqu'ici le garçon était très reconnaissant à son bienfaiteur, mais il se posa quelques questions à cause de la façon dont celui-ci était en train de le fixer au lieu de prendre la bouteille vide qu'on lui tendait. Soudain, tout bascula. Raphaël sentit une main dans ses cheveux, et une autre se poser sur son pantalon. Il avait compris. C'était ça, le payement que le concierge allait exiger. C'était le prix de la bouteille. Il allait lui faire les mêmes cochonneries répugnantes que ce que le vieux avait fait à tant d'élèves! Le concierge était au moins aussi pourri que le cureton! Bien sûr, Raphaël était reconnaissant pour la bouteille, mais il était dégoûté par ce genre de choses, et surtout il n'était pas en état de subir un tel traitement. Il repoussa le concierge du peu de forces qui lui restaient, et recula jusqu'à être plaqué contre le mur, le plus loin possible de l'adulte. Il fronça les sourcils, mettant le plus de volonté et de détermination possible dans sa voix.

- Allez-vous en! ... SORTEZ D'ICI!!!!! ><

Vociféra-t-il. Il n'était pas question qu'il passe à la casserole pour une bouteille d'eau! (XD) Mais il était un peu trop tard... Le tigre était dans la cage. Et à moins que celui-ci ne se reprenne, il n'y avait pas beaucoup d'espoir, parce que l'enfant n'était visiblement pas en état de résister...

Dante écoutait le jeune avec une voie très faible qu'il le remerciait mais en fessant des avances Dante, Raphael repoussa le concierge du peu de forces qui lui restaient, et recula jusqu'à être plaqué contre le mur, Dante ce rattrapa de justesse pour ne pas taper contre le mur, il ce dit pk il ne veut pas ??? Personne me dit non a moi j'aime quand on me résiste plus il voyait le Corp. encore meurtrie de jeune plus ca l'excitait et de plus Raphael Avait plus de force qu'il en paressait en effet il avait l'air faible mais non c'était peut être un reflex d’autodéfense mais quand le garçon dit:

* -Allez-vous en! ... SORTEZ D'ICI!!!!! ><*

Dante était choquer de la façon d'on il lui parlait lui qui était gentil pour une Foix mais arrimant il voulait pas de lui, donc il voulait le faire soufie vraiment encore plus mais il ne voulais pas il voulait lui faire soufre psychologiquement c'est plus attractif et ca ce voie pas il aimait plus cette idée qui était meilleur.

Dante commença a ce caressé le torce il commençais a ce déshabiller doucement il enleva ca veste, plus doucement son pantalon jusqu’a mis genou puis il enleva son Caslon on y voyait son pénis qui était vraiment tes exciter en effet il bandait déjà!!!!!!!. Il se rapprochait doucement vers le garçon il voulait voir la peur dans ces yeux tous en continuant d'avancer quand i l’était prêt de lui il lui arrachât ces vêtement mais avec difficulté il attrapa ces cheveux et le mis a l’embrasser doucement et a lui toucher sans pantalon au niveau de son pénis et il lui colla au mur tous en continua a l'embrassé

Dante lui dit amicalement

*L'aisse toi faire a en sera que meilleur*

Malgré la demande de Raphaël, le concierge n'avait visiblement pas l'intention de le laisser tranquille. En même temps, le contraire eut été bien étonnant. Mais il avait fallu que l'enfant essaye! Après tout, la première fois qu'il l'avait supplié, le concierge était venu à son secours. Oui mais le pouvoir de la testostérone était trop puissant. Peut-être même que c'était lui qui avait fait agir Dante depuis le début? En tout cas il ne fallait visiblement plus compter sur lui pour s'arrêter tout seul. Il commençait déjà à se déshabiller. Raphaël eut souhaité plus que jamais qu'il n'y eut pas de mûr, et qu'il puisse se reculer afin d'échapper à l'adulte. Mais il ne pouvait pas. Et de toutes manières, il n'en avait plus la force. Il vit avec horreur le grand se coller à lui. Il ne pouvait plus bouger! Un cauchemar! Il aurait voulu hurler... mais où puiser l'énergie?

- N... non! >< Lâchez-moi, je vous en supplie! Non! >< N...

Mais les supplications de Raphaël ne furent pas entendues. Il se débattait du peut de forces qui lui restaient, et bien sûr, c'était loin de suffire. Désespéré, et ne voyant aucune issue possible, il sentit un sanglot monter dans sa poitrine. Les choses allaient se répéter, encore, indéfiniment. Pourtant Dante était moins aggréssif que certains, il était même presque doux... Mais voilà, Raphaël ne voulait pas!!! >< Il ne voulait pas refaire ces choses immondes avec un homme >< Une main se frottait maintenant à son sexe... Il aurait voulu hurler. Mais aucun son ne put sortir de sa bouche.

- Laisse toi faire, ça n'en sera que meilleur...

Combien de fois avait-il déjà entendu cette phrase? Plus jamais il ne voulait avoir à revivre ça! Mais il lui restait trois ans à tenir à Saint-Francis, et il y avait de fortes chances pour que cela se reproduise. Alors qu'il tentait vainement une nouvelle fois de repousser son assaillant, il sentit ses dernières forces le lâcher, et il tomba sur le sol, évanoui. Il était totalement sans défense, mais aussi sans réaction... Soudain... un bruit de pas dans le couloir. Bruit de pas salvateur. Une ombre se dessina dans l'encadrement de la porte. Le curé!!! Il posa des yeux terribles sur la scène qui se déroulait sous ses yeux. Longs instants de silence... Puis sa voix se fit entendre, suave comme le miel.

- Monsieur Sparad, je vous prie de bien vouloir vous rhabiller, et m'attendre dans mon bureau.

Dante écoutait Raphael le refuît catégorique il suppliât Dante d'arrêter mais je crois que Dante était tombé amoureux comme cela au deuxième regard sur lui il voyait le jeune entrain de avoir peur il avait même la certitude qu'il pensait qu'il allait mourir en tous ca il réfléchi avent d'aller plus loint , il ce dit ce serait mieux ci lui il voulait mais non il voudrai plus jamais maintenant c est mort !!!! il ce dit et puis merde il arrêta tous d'un coup de l'embrasser et d'un haïr désoler dit;

*Raphael je suis vraiment désoler je ne sais pas ce qu'il ma prie*

Il se retirait du Corp. du jeune garçon avec un peut de regret mais il le fait bien il havait un peut honte il avait jamais fait cela et ca le rendait dingue il avait honte a un de ces points a ne plus de regréer en face dans une glace enfin les glasses il évite de les regarder car à chaque foi il les casse.

Quand il entendit des pas il savait tous de suite qu'i allait prendre chère mais il ne savait pas qui cela était il resta seul a affronter son triste sort il vu le curé qui posa des yeux terribles sur la scène qui se déroulait sous ses yeux. Longs instants de silence... Puis sa voix se fit :

*- Monsieur Sparad, je vous prie de bien vouloir vous rhabiller, et m'attendre dans mon bureau.*

il se rhabillait et le suivie le prêtre dans son bureau a reculons en entrant dans le bureau et ce prix un savon par le prêtre en tous ca demander le pardon il connait pas c est un prêtre vous été sure .? il expliquait que en ce moment il allait pas très bien que personne l'aimais et que il était en dépression c est pour cela qu'il était ci violant et ci susceptible mais le prêtre prix note mais en avait rien a foutre le prête ne voulait pas que cela ce reproduise ci non la réputions de cette école serait bafouer a jamais il s'excusait donc de avoir faire cella et ce retira ^^,

- Raphael je suis vraiment désoler je ne sais pas ce qu'il ma pris.

Cette phrase, Raphaël ne put l'entendre. Il était dans les vapes, totalement inconscient. Avant de le laisser seul, le curé fit appeler l'infirmier. Puis il quitta le cachot, et alla passer un savon à Dante dans son bureau. Le curé est ce genre d'homme qui n'aime pas que l'on touche à ses proies, même s'il en avait lui-même plusieurs. Il était du genre à régner en mâle dominant, et ne supportait pas les rivaux dans ce domaine. Il venait de comprendre qu'avec l'arrivée de Dante, il aurait fort à faire... Et il était bien décidé à lui mettre la honte de sa vie XD Fort heureusement pour le prêtre, le concierge ne semblait pas assumer totalement ses actes, et était rempli de regrets. Il serait donc plus facile à faire plier que prévu. Pendant ce temps, l'infirmier soignait Raphaël. Il attendit qu'il se réveille, puis il lui donna à manger et à boire. Le garçon n'allait pas très bien. Aussi fut-il autorisé à rester à l'infirmerie pendant quelques heures. Quand il put de nouveau se tenir debout, il se leva, et sortit.