Présentation de Mathéo Givenchi [Professeur] [ok]

Nom: Givenchi

Prénom: Mathéo

Âge: 20ans

Statut: Professeur de Français ?

Enfant de: Famille aisée

Lieu de naissance: Milan

Sexualité: Bi

Père: Gino

Mère: Luccia

Frères et sœurs: Frère, Enzino

Description physique:
Mathéo a un physique particulier. Quand on le regarde dans l'ensemble, son physique et doux et charmeur. Etant un italien du sud, il n'est pas i mate de peau que ça. Au contraire, sa peau est plutôt penchée vers le blanc pâle ce qui lui donne un parfois en été un teint pêche. La massa de cheveux désordonné qu'il possède sur son crâne est de couleur ambre blond. Il a de petites mèches lui tombant devant le visage ou voltigeant n'importe comment en pics.
Sous ses pommettes hautes et ses traits charmeur, un regard miel observe le monde. Ses iris sont en effet d'une couleur tout aussi ambré or que ses cheveux. Son nez n'est ni remonté ni en trompette, parfaitement normal et rond, il siège avec merveille sur son visage. Possédant un corps élancé et plus ou moins musclé, le jeune homme est donc mince. Son poids vari, non qu'il soit boulimique, simplement il perds rapidement du poids lorsque la mélancolie le ronge. Pour l'instant il en est vers les 66kg pour une taille faisant 1m82. Donc c'est certifié, il est mince. Ainsi, beaucoup de vêtement lui vont. Son torse ne possédant pas de poil apparents est assez fort et tout aussi pêche pâle que le reste de couleur de peau de son corps. Agréablement proportionné, Mathéo a une tenue vestimentaire très spécial à lui même. Le goût pour la mode est chez lui, irréfutable. Il attache autant d'importance aux vêtements qu'à la nourriture. Selon les saisons et la tendance, il change sa tenue. Le plus souvent il s'habille version romance. Slim noir avec chemise espagnole laissant entre voir son torse avec aux pieds, chaussures cirés blanche et noirs. Mais étant blond, le brun et le beige lui siées à merveille. Donc son pantalon habituel est un jean en velours beige avec pour haut une veste en cuir de daim brune ou clair cachant une chemise en lin. Mais il peut passer tout aussi bien de jeans avec converses et T-shirt quand il en a envie. Donc voilà, la mode et lui ça fait un. Pour ce qui est des bijoux, il en porte assez souvent. Autour de son cou il peut porter une croix en or virvoltant sur le début de sa poitrine ou encor une chaîne en métal. Quelques bagues d'argent ou or à ses doigts et tout aussi bien en touche personnelle un chapeau rital sur son crâne. Parfois il penche pour la casquette en coton. Enfin, voilà qu'il a des goûts propre à lui. On pourrait vite le prendre pour le gay typique et sainte ni touche alors qu'il n'est que le simple contraire. Sinon il ne met pas de vernis ou de choses du genre.

Signes particuliers: Il possède sur le haut de ses avant-bras des tatouages appartenant à son passé d'italien rebelle..<_<

Description psychologique:
Pour résumer sa tendance caractériel habituelle, elle est de pacifique et étrange. Jeune homme singulier, Mathéo ne démontre aucune tendance à la folie ou encor la skysophrénie, loin de là. D'un tempérament à toute épreuve et bien trempé, il peut tout de même être des plus doux et charmant. Mais le jeune homme, étant tourmenté par une maladie restant insoignable pour lui encor aujourd'hui, à savoir la mélancolie, il est souvent plongé dans un tourment proche au suicide. Oui, le jeune homme était émotif et singulièrement triste au fond de lui même. Ne comprenant jamais ce qu'il lui arrive lorsqu'il verse une larme. Dépressif ? Peut être mais cela va quand même plus dans le désarroi de lui même. Par moment, il ne se supporte plus et se violente en se frappant et se faisant réellement du mal. Pourtant il a tout pour être un parfait gentleman. Poli et respectueux, il a la courtoisie dans le sang et en plus de ça, est un rêveur poète né. Adorant écrire des romans et des textes songeurs, passant ses nuits à la belle étoile à écrire les sentiments qu'il ressent.
Il n'a que très peu d'amis, n'accordant pas sa confiance dans l'immédiat, il se méfie très vite et u rien peu le rendre réticent à une offre d'amitié.
Sa générosité et fidélité est pourtant sûr de n'être jamais bafouée par ses sauts d'humeurs tristes. Ses vrais amis pourront toujours compter sur lui. Même si par moment le jeune homme peut se montrer bien fourbe et hypocrite. Chose qu'il cultive depuis bien longtemps Mais sa rêverie douce et légère calme vite ses jeux fourbes auxquels il aime se prêter de temps à autre. Mathéo étant intelligent et cultivé sans rien à redire, il cultive un raffinement certains pour la beauté et la vie. La beauté humaine ou celle de la nature compte énormément pour lui. S'il n'y a plus de beauté, c'est comme si une partie de lui mourrait.

Ce qu'il aime:
Mathéo apprécie beaucoup de chose. Tout d'abord la beauté, la beauté d'un visage, d'un corps nu, d'un arbre, toutes les beautés existantes. Il adore voyager et rencontrer de nouvelles personnes, voir de nouvelles choses et paysages. Etant un jeune homme d'une grande gourmandise, il adore le chocolat et ne peut jamais résister devant un bon gâteau ou une cuillère de glace à la pistache devant un film d'action. Il adore le cinéma, les films d'aventures et les thrillers de sang froid. Certains films d'horreur font aussi partis de son appréciation, mais c'est plus rare. Les films en noir et blanc bien sûr, vu que ceux en couleurs ne sont vraiment pas au top. Mathéo aime le français, la poésie et la culture, il aime la mode et les vêtements, s'asseoir sur un banc et regarder les gens passer. Manger dans un restaurant ou chez lui, tranquillement à boire un verre de vin, la bière, c'est pas son truc. Il aime les nuits étoilés ou il peut passer son sommeil dehors, et est affectionné par les chats, félins. En fait il aime toutes sortes de choses plus ou moins anodines. Mais la chose pour qu'il apporte le plus de bien être c'est la musique. Cassique ou Jazzy...tout ce qui passe du moment. Cela lui apporte toute la sérénité dont il a besoin pour se détendre.

Ce qu'il n'aime pas:
Le jeune homme a une grande liste de choses qu'il n'apprécit guère. Tout d'abord les chiens, bêtes qui le répugne sans précédant. Il n'aime pas non plus les personnes vulgaires et déloyale, tout ce qui est du genre malfamé. Porte en son cœur une grande animosité contre sa famille paternelle qui n'est de toute façon plus de ce monde. Déteste être dérangé ou adulé comme une idole ou bien le contraire. A horreur qu'on l'extirpe de ses rêveries et n'apporte pas grand respect à ceux qui ne respectent pas l'environnement. Il déteste qu'on l'aborde pour ne rien dire, est plus tôt solitaire et s'insupporte lui même tout comme la compagnie des autres. Il est agoraphobe, à dire qu'il déteste être dans une foule de gens, entouré, encerclé et bien d'autres choses .... Il s'impatiente vite et n'aime pas perdre son temps en une compagnie désagréable ou non cultivée.

Histoire:

1ère partie.

Mathéo est italien de pure souche. Natif de Milan, il grandit en cette majestueuse ville, capitale même de la mode. Etant né dans une famille aisée et des plus riches de la ville, Mathéo grandit en enfant pourrit gâté. Son père, Gino, était un grand entrepreneur, directeur de plusieurs magasins de vêtements de luxe. Il avait un caractère assez froid et passable de morosité habituelle. Gino n'attachait pas grande affection à son fils q'il ne voyait presque jamais de toute façon. Etant toujours en voyage à travers le monde, le seul contact qu'il avait avec son enfant était quelques lettres et cadeaux de par la poste. Mathéo aimait quand même son père même si celui ci état maladroit dans ses sentiments et ses paroles. Sa mère, Luccia, était une femme d'une rare beauté. Douce et fragile, elle avait une bonté et un amour sans limite. Elle aimait ses enfants par dessus tout et ne pouvait rien leur refuser d’où le fait que Mathéo était pourrit gâté. Le jeune homme a toujours était affectionné envers sa mère qu'il adorait et materné. Oui, les rôles étaient un peu inversés dans la famille en ce qui concerne Luccia. La jeune femme, ayant était enceinte très tôt, garda son esprit d'enfant irresponsable et tout aussi son envie permanente de réconfort. Mathéo, étant le cadet, a toujours était le plus à l'ombre dans son coin, se persuadant qu’il n’était qu’un bon à rien. Mais ses parents, attachant autant d'amour qu'à lui ou qu’à son frère, ne faisaient pas épreuve de jalousie entre les deux jeunes enfants. Dès son plus jeune âge, Mathéo éprouvait quand même une certaine envie envers son frère Enzino. Celui ci avait 2ans de plus que son petit frère. Il était un géni né, doué en tout, musique, art, école, amour. Tout. Beau comme un apollon, il était séducteur des demoiselles qui se jetaient volontiers à ses pieds. Sur ce terrain là, Mathéo n'a jamais était très brillant. Etant tout aussi doué que son frère mais laissant le domaine de l'amour de côté, il restait donc dans son coin. Il brisa le cœur de beaucoup de jeunes filles à les refuser sans courtoisie. Enzino ne le comprenait pas et, ayant de bonnes relations avec son frère, l'encourageait à se trouver une fille bien ou même un homme vu que ce cher Mathéo eu certaines attirances masculines. Mas le physique de son aîné était bien plus sculptural que le sien. Il était grand, mince, musclé, le teint mate et de beau cheveux ébènes, des pruelles tout aussi noires et un sourire à en faire fondre les coeurs les plus froids. Et puis, comme si c'était nécessaire à sa vie que d’avoir un(e) chéri(e). Les deux frères vivaient donc bien et en harmonie ensemble dans leur immense villa. Mathéo possédait une chambre aussi grande que la surface d'un terrain de tennis. Lit deux places et armoire bourrée de bouquins de tout les écrivains possible, chaîne à ra bord de CD de toutes sortes. Mais il faut savoir qu'il était quand même ordonné et bien élevé. L’éducation des deux frère était faite par la nourrisse, Casilda. Femme au bon cœur mais un tant soit peu trop sévère. Tout se déroulait bien, Enzino était en fac et Mathéo entrait en Première.
Le lycée lui plaisait mais pas autant que les journées où il sortait en compagnie de sa mère faire le tour des magasins. Péché mignon que d'avoir la fièvre acheteuse entre lui et sa chère maman. Puis son frère dût quitter leur maison et partit faire ses études aux Etats Unis, à Princeton. Gino toujours en voyage en Orient. Mathéo resta donc seul homme dans la villa en compagnie de sa mère et Casilda. De longs mois passèrent ainsi comme ça. Puis un jour, il n'y eu plus de nouvelles de son père Gino.

2eme partie.

Luccia n'en pouvait plus de rester ainsi comme ça, espérant recevoir une quelconque lettre de son époux. Comme l'enfant qu'elle était encor, elle pleurait toutes les nuits, devenant folle de maladie. Mathéo en informa son frère qui ne pouvait hélas par rentrer pour l'instant trop prit par ses études. Alors le jeune homme passait ses nuits en compagnie de sa mère, à la consoler et rester au près d'elle. Finalement, au bout de 3mois sans nouvelles, une lettre survint. C'est la vielle Casilda qui la prit et la donna en premier lieu au jeune homme. C'était une lettre du frère de Gino, son père. Il lui informait par cet écrit que son père ne reviendrait pas. Simplement par ce que s'il le faisait, la famille Givenchi prendrait possession de la demeure et de tout ses biens, poussant ainsi à la rue Mathéo, sa mère, Casilda et son frère. En entendant la famille Givenchi, il s'agissait de la famille du côté de son père. Mathéo, alors âgé de 16ans, ne comprenait pas vraiment le sens de cette lettre. Il la donna à sa mère qui comprit bien plus vite de ce dont il était question. C'était pourtant évidant. La famille Givenchi était une famille mafieuse toujours trônée du grand père, Parrain ayant une influence folle sur bon nombres de villes telles que Venise ou Nice. C'est pour ça que Gino ne voulait pas rentrer. Pour ne pas mettre sa femme et son fils en trop grand danger. Le Parrain mafieux qu'était le père de Gino se nommait Ruan Carlo. Et celui ci avait était amoureux de la belle Luccia. Donc il fut vite jaloux de son fils lorsque celui ci l'épousa. Pour simple vengeance, il voulait priver Gino de revoir sa femme et de la laisser seule gérer la grande demeure. Querelles de famille débiles et sans cohérence selon Mathéo. Son père reviendrait, il en était sûr. Luccia, elle, n'en était pas aussi convaincue et en sombra dans une dépression sans faille. C'est pour cela que 2semaines après, Enzino arriva en trombe pour aider son frère et Casilda à s'occuper de Luccia à bout de forces. Jusque là, la vie continuait sa route et le jeune homme passa en terminale alors que son frère, lui, avait repris l'entreprise et les magasins de modes de son père. C'est à la rentrée de cette Terminale que la face de Mathéo au sujet de l’amour féminin changea. Une nouvelle était arrivée, belle et rêveuse, passionnée d'art, tout pour plaire au jeune homme. Les deux êtres devinrent vite des amis et par la suite un jolie couple d'amoureux qui faisait jalouser bon nombre de filles du lycée. Il vécut cette première fois et première romance hétéro dans un calme paisible et serein. Etant fou amoureux de la jeune fille, il en oublia presque le départ loin de son père et le chagrin lourd de sa mère. Mais lorsqu'il rentrait chez lui, il retrouvait vite ces choses oubliées un temps. Et un jour, en pleine été, Mathéo avait invité sa chérie dénommée Maria à venir manger chez lui. Casilda avait dressé la table dehors, sur la terrasse, il faisait beau soleil et les herbes provençales faisaient chanter les grillons de par leurs effluves odorantes. Luccia avait le sourire aux lèvres ce qui rendit d'autant plus heureux Mathéo et Enzino. Au fil du repas, une chose commençait à gêner pourtant le jeune cadet. Il avait l'impression d'être observé, impression qui se justifia quelques heures après. Un bruit se fit enttendre près de Maria, puis une silhouette sombre fut assez distinct dans les bosquets. En un éclair celle ci tomba à terre, morte, baignant dans son sang et renversant des vases qui se brisèrent en mille morceaux. Les cris de torpeurs de Luccia retentirent alors comme une souffrance éternelle. Casilda, elle, s'était précipitée à l'intérieur, entraînant par la manche Enzino sous le choc. Mathéo, pleurant, à moitié à terre au dessus de Maria, essayait tout bonnement de consoler sa mère encor sous les émotions. Mais la rage qui le possédait le surpassait. Il criait et pleurer de colère, partant dans le jardin des citronniers pour essayer de trouver l'assassin au révolver. Mais aucune traces. Quand il revint, toujours autant la rage au cœur et la colère au ventre, l’esprit remplit de tristesse, il entendit alors un nouveau coup de feu et un cri de détresse qui s'arrêta net. Le cri de sa mère, Luccia. Se précipitant vers la table de la terrasse, il était trop tard. Sa mère était allongée à côté de Maria, morte de deux balles dans la poitrine. Une immense marre de sang encerclant les corps inertes des jeunes femmes. Et plus loin en face, Enzino l'expression blafarde et sans mots, les larmes lui coulant sans arrêts des yeux avec Casilda qui elle, pleurait bruyamment, se mettant à genoux auprès de sa maîtresse, implorant en vînt Dieu pour qu'elle se réveille. Puis il y'avait Mathéo. Mathéo à qui la rage le consumait. Des larmes abreuvant ses joues déjà moites. Les poings serrés sur eux même, la gorge sèche et un chagrin sans dimension l'emparant. Il remarqua alors un détail qui signa l'identité du tueur, une rose blanche posée non loin des deux corps, à côté d'un vase cassé. Rose blanche qui n'était rien d'autre que le symbole même de la famille Givenchi.

3eme partie.

Ce simple symbole arracha à Mathéo le peu de sentiments qui lui restait. Il jura de toute sa hane qu'il se vengerait. Finalement, 1an après ce drame, Enzino était en possession de la demeure avec accord de son cadet. L’aîné avait changé et était devenue froid, distant. Ne pouvant se résoudre à croire que sa mère était morte après tout ce temps et qu'aucun signes de vie ne fut donné de son père. Casilda, toujours pareil à elle même avait néanmoins de la tristesse plein le cœur et s'occupait du mieux qu'elle pouvait des deus jeunes hommes. Quant à Mathéo, il était devenu fou. Un fou rêveur. Abandonnant ses études à 19ans. Il avait rejoint Naples durant quelque mois, laissant pour toute explication à son frère qu'il voulait simplement changer d'air. Mais ce n'était pas le cas. Il y allait pour une bonne et simple raison, la famille Givenchi était logée à Naples. Une fois arrivé dans cette fameuse ville, le jeune homme eu vite fait de trouver sa famille parmis tous les réseaux de mafia qui se trouvaient dans les quartiers Napolitains. Le Parrain, Ruan Carlo, allias son grand père l'accueillit à bras ouverts comme si il ne s'était jamais rien passé, avec son air hypocrite peint sur son visage bouffit et ridé. Mathéo joua le jeu. Et au bout de quelques mois, il intégra la Mafia pure et dure. Devenant un maître arnaqueur et hélas tueur. Il commit des choses qui ne pourraient sans doute jamais être pardonnées. Au fil du temps, Ruan Carlo fit totalement confiance au jeune homme et lui révéla qu'il avait tué sa mère par ce qu'elle n'était qu'une salope et catin à avoir refusé ses avances à lui et accepté celles de son idiot de père. Pour ce qui est de Maria, il l'avait assassiné simplement par ce que son père était un homme politique trop libéral. Sa rhaine et vengeance bouillonnante, Mathéo se contint tout de même et laissa passer trois mois après cette discussion. Trois mois durant lesquels, il prépara sa revanche au nom de Luccia et Maria. Le fameux jour venu, il tendit un piège à l'aide d'un ami à lui, Tony, un piège destinait bien sûr à son grand-père. Le Parrain était en totale confiance envers son petit fils et ne soupçonna rien et tomba dans l'embuscade. De toute part, dans un quartier désert et sombre de la ville, le Parrain prit des dizaines de balles tout comme ses gardes du corps qui ne s’y attendaient pas non plus. Une fois mort, Mathéo laissa son ami tuer le reste de la famille des Givenchi. Mais le jeune homme ayant un brin de mafia dans le sang, ne pouvait pas vraiment se rendre compte qu'il devait retourner au près de son frère et de Casilda. Il était dernier membre de la famille mafieuse des Givenchi, les tatouages sur ses avant bras sont d'ailleurs le symbole de son appartenance à ce clan. Mais bon, les affaires familiales devaient reprendre et Mathéo devait laisser ce lointain passé derrière lui. Il rentra à Milan et rejoignit son frère. Qu'elle ne fut pas la surprise qu'il eut lorsque celui ci lui apprit qu'il s'était marié à une superbe jeune femme, Louisa. Il avait 20ans après tout, et en un an de mafia à Naples, il s'en était passé des choses à Milan. Mais le jeune homme ne raconta jamais rien à son frère ni à Casilda qui se doutait quand même un peu de quelque chose. Mais même si Mathéo n'eu jamais rien dit, les symboles en tatouage sur ses bras n'étaient pas inconnu à son frère Enzino. Mais celui ci, n'étant pas chiant, ne demanda rien et comprit de lui même. Et c'est ainsi que tout reprit son cours normal. Mathéo passa un concours pour être professeur et il l'obtenu avec mention très bien. Il se mit alors à chercher un emploie correct un peu plus loin, oubliant la disparition de son père et tout ce qui allait avec.

Pourquoi est-il ici ?
Mathéo recherche un travail. Peut être est il riche comme il le veux, mais c'est son frère qui dirige les magasins et l'entreprise. Et le jeune homme ne veux plus vivre à Milan, c'est pour ça qu'il partit en quête d'ailleurs. Il se prit un appart dans la région et regarda pour les postes de professeurs en sa matière, le français. C’est comme cela qu'il tomba sur l'Etablissement privé Saint Francis. Il espère y trouver son post et pouvoir s'engager en bonne réglementation pour y faire sa tâche de professeur et vivre de ses propres moyens. Bien sûr il logera ou on lui dira d'aller, ce n'est pas un problème.

Waaah superbe fiche
Mais il reste parfois des fautes d'orthographe
Très bel avatar

Mais il y a quelques problèmes.
Je vais commencer par les anachronismes.

- Tu es sûr que le nutella existait déjà en 1954?

- Par contre, je suis bien sûr et certain que ni le Hard Rock, ni la Pop Noise n'existaient à cette époque

- Si la "lumière rouge" désigne un viseur laser, même chose, il n'y en a pas au début des années 50...

Ensuite fais attention à ce que tu écris, parce que parfois on comprend autre chose

Tu as voulu écrire fac, pour faculté, mais tu as écrit FAQ pour "foire aux questions"

Ensuite il y a quelque chose que j'aimerais voir à propos de l'appartement.
Sache que même les professeurs de Saint-Francis doivent y résider toute l'année.
Si tu es professeur, tu habiteras au presbytère.
Tu auras le droit de sortir quand tu veux, contrairement aux élèves, mais c'est une formalité

Voilà

Merci de m'éclaircir tout ça, que je puisse te valider, cher professeur

Bienvenu

Déjà, merci de l'accueille ^^

Je m'excuse si j'ai des tendances à mélanger le futur et le passé..mon péché mignon de sciences fictions x)

Alors bah je vais refaire un peu mon chmil blique et je te préviens ein ^^

Merci pour le compliment de l'avatr xD J'en suis fou moi aussi...<.<


Et pour le nutella...on a qu' à dire que c'est du chocolat fondu
Et le presbytère ça me convient =D
Et bref, je vais régler mes problèmes, que j'enseigne un peu le français à mes futurs victimes x)

EDIT :

Voilà
Ce devrait être bon !!

^^

Ok

Je trouve ça un peu bizarre, un italien qui vient enseigner le français...
Mais bon on va pas faire de chichis

C'est good
Tu peux jouer